A l’origine, il est une idée, un rêve, une vision.
Une articulation entre l’ex nihilo et le devenir. Un jeu entre le fond et la forme.
Oui, il est devenu impératif de repousser les limites encore plus loin dans l’exclusif.
Être créatif ne suffit plus, il faut être disruptif.
L’architecture qu’elle soit expérientielle, émotionnelle, chacun de nous se l’approprie un jour.
Chaque être est animé par son essence.
Comme pour une vie, bâtir des fondations solides est un essentiel.
C’est une quête de sens, des sens…
Le design est donc devenu un outil de communication en même temps qu’une affirmation de sa singularité.
Il n’y a qu’à voir les grandes maisons de luxe qui s’allient aujourd’hui aux bâtisseurs de renom pour offrir de nobles écrins à leurs produits.
L’architecture comme une signature, qui se démarque par une influence théâtrale, une prégnance dans le paysage.
L’environnement qu’on ne peut ignorer qu’on a le devoir de protéger !
Parce-que le monde évolue, que les paradigmes changent.
Cette démarche morale responsable, consciente, est un engagement intrinsèque à chaque projet.
Bien sûr elle s’applique aux productions d’énergies, mais également à la limitation de la surconsommation et aux futures matières qui remplaceront les polluants.
Soyons réalistes, l’architecture ne peut probablement pas sauver le monde, mais nous pouvons faire évoluer les consciences et donner le bon exemple pour le changer…
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